Madame la Professeure Ordinaire Anastasie MASANGA MAPONDA traine de sales casseroles, lorsque ce ne sont des cadavres puants dans des placards depuis l’Université Président Joseph Kasa-Vubu de Boma où elle a exercé les charges de Rectrice pendant plus d’une décennie, avant d’être appelée à l’Université Pédagogique Nationale pour prester à la même fonction rectorale.
Théologienne appelée à témoigner de sa foi chrétienne non seulement en paroles mais en actes, les personnes qui la connaissent ne croient pas qu’elle soit une fervente pratiquante.
« La Grande Royale », pour emprunter une terminologie chère à Cheikh Hamidou Kane dans « L’Aventure Ambigüe », est considérée, non sans méchanceté, d’une sorcière ensorceleuse pour les uns ; et d’une envouteuse pour les autres.
Sans compter qu’en matière d’appartenance politique, elle sème à tout vent, transhumante apparatchik qui peut passer d’ une pprdienne et se muer du jour au lendemain en une « sacrée unioniste » au gré de ses intérêts, les convoiements des enveloppes et autres juteux cadeaux aux chefs des partis étant un jeu de passe-passe pour elle.
Mais tout cela, croit-elle, n’est pas de l’ordre des antivaleurs mais d’un réalisme pour la survie dans la foi éclairée.
Au regard de ce que fut son parcours abracadabrantesque comme Recteur à l’UKV, la mauvaise gestion lui collant à la peau jusqu’à la fin de sa carrière, il était temps qu’il fît ses valises, toutes les victimes collatérales de sa triste gestion ayant salué son départ, lorsque concours des circonstances, elle fut contrainte de libérer le plancher à l’Université Président Joseph Kasa-Vubu de Boma.
Malheureusement le sale jeu de la Rectrice MASANGA MAPONDA dut se poursuivre à l’Université Pédagogique Nationale, UPN en abrégé.
Parce qu’elle incarne les antivaleurs, elle y a connu une fin tragique : pour la deuxième fois, elle fut chassée, lapidée et traitée de MOYIBI (voleuse) par des étudiants en colère lors de la remise et reprise avec le nouveau comité de gestion, après avoir été chassée de l’UKV deux ans auparavant par la Notabilité provinciale du Kongo Central pour cas d’incompétence et de mégestion.
Disons-le autrement : Malheureusement ou heureusement selon le camp où l’on se trouve, pour la deuxième fois, elle-même et tout son comité de gestion laissés par le Ministre MUHINDO NZANGI à l’UPN ont été limogés pour les mêmes raisons par la nouvelle Ministre Prof. Dr. Marie-Thérèse SOMBO AYANNE SAFI s’appuyant sur un rapport de l’Inspection Générale des Finances (IGF)[1]
[1] Référencé 0010/PR/IGF/IG-CSA/VBP/BCO/2024 et un climat malsain persistant entraînant un dysfonctionnement auquel le comité de gestion n’a apporté aucune solution adéquate[2].
[2] Lire à ce sujet MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE, Arrêté Ministériel N° 008/MINESU/CAB.MINESU/CAB.MIN/SASMT/MMK/2024 DU 23/08/2024 PORTANT DESIGNATION ET NOMINATION DES MEMBRES DU COMITE DE GESTION DE L’UNIVERSITE PEDAGOGIQUE NATIONALE, EN ABREGE « U.P.N. », EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO. Lire aussi : Lumumba KAMBERE MUYISA, RDC-ESU : Le Ministre Muhindo Nzangi dans les sales draps, dans https://x.com/LumumbaKambere/status/1829075427870015668?t=-j5_fwwB9fuVzf0uLZLLGw&s=08, consulté le 31 août 2024 à 8H17.
C’est à croire qu’elle serait vraiment une malédiction pour les Etablissements de l’ESU. Dommage que de telles scènes ne servent pas souvent de leçon !
Ci-devant Madame la Professeure Ordinaire et Rectrice sortante Anastasie Masanga Maponda
On le voit, concernant l’UPN, c’était une grosse erreur d’y nommer une personne chassée de l’UKV/Boma par la Notabilité provinciale du Kongo Central pour cas d’incompétence et de mégestion. « La vérité est têtue ; elle finit toujours par triompher ; Dieu est juste ! », dit-on.
Pour la deuxième fois, l’orgueilleuse Maman Pasteur est tombée de son piédestal. Car le mensonge, les magouilles, la calomnie, la politique d’opposer les gens pour mieux régner, l’idéologie tribalo-clanico-cotérique, la corruption, le maraboutage/fétichisme (les fétiches pourrissent aussi) et le vagabondage ou la transhumance politique ont une fin.
Quoi de plus difficile que d’œuvrer pour le bien de la communauté quand on a une parcelle de pouvoir ? L’histoire rattrape toujours les gens de peu de vertu qui servent bien souvent et malheureusement de références pour beaucoup d’entre nous.
En effet, pour être Rectrice de l’UKV/Boma, elle avait combattu, calomnié et ourdi un complot contre les Abbés Professeurs César VUMUKA ku NANGA et André Edouard YENGO ki NGIMBI, respectivement Secrétaire Général Académique et Recteur, qui luttaient contre les antivaleurs et étaient en train d’instaurer la rigueur tout comme l’excellence scientifique et morale à l’Université dédiée au Président Joseph KASA-VUBU dans le but de faire émerger et rayonner cette dernière.
En en faisant une université viable, stable, complète et de standard international où est dispensé un enseignement de haute qualité pour le développement du Congolais, de l’Africain et du citoyen du monde entier.
La Pasteure Anastasie MASANGA récolte aujourd’hui à l’UPN ce qu’elle avait semé auparavant à l’UKV en infligeant un traitement injuste au Secrétaire Général Académique Prof. Abbé César VUMUKA et au Recteur Abbé André-Edouard YENGO pour occuper leurs postes : elle avait corrompu et instrumentalisé les étudiants contre ces deux anciennes Autorités de l’UKV.
Ce qu’elle avait fait aux autres la rattrape aujourd’hui. Comme quoi, « Qui tue par l’épée, meurt par l’épée ! ».
Pour tout dire, on ne peut pas prétendre construire l’Université congolaise et la RD Congo en gratifiant les détourneurs ; il faut que la justice s’y penche en toute indépendance.
Elle prétend avoir bien géré parce qu’elle a laissé beaucoup d’argent dans les comptes et caisses de l’UPN. Mais il faut nous démontrer combien l’UPN a encaissé pour qu’elle (Rectrice) laisse une telle somme.
Vue panoramique du home des étudiants de l’UPN…
En plus, une expertise indépendante comme celle de l’IGF serait aussi nécessaire ; veut-elle insinuer que les différents rapports de la communauté universitaire UPN, de l’IGF et de Madame la Ministre de l’ESU sur sa mégestion à l’UPN sont infondés/faux ?
Enfin, concernant cette affaire dans laquelle elle est soi-même impliquée, l’orgueilleuse Maman Pasteur ne peut se constituer elle-même juge et partie. Sauf à vouloir se faire passer pour une menteuse professionnelle.
Par conséquent, ses affirmations ne sont pas à prendre comme une parole d’Evangile. Qu’elle ne prenne pas ses compatriotes pour des stupides/idiots qu’elle peut tromper et manipuler à sa guise !
D’ailleurs on connaît ce qu’elle avait fait à l’UKV/Boma où elle a laissé une dette colossale et illégale de plus d’UN MILLION de dollars et d’où elle a été chassée une première fois par la Notabilité provinciale du Kongo Central pour incompétence, immoralité et megestion avérées.
Honte à toutes les personnes et Autorités tant ecclésiales que politico-administratives congolaises qui ont promu cette Maman Pasteure, une nomadiste opportuniste viciée!
Grande honte à l’Eglise du Christ au Congo (ECC) et à la 18ème Communauté Evangélique de l’Alliance au Congo (CEAC) qui veulent blanchir leur membre de l’Eglise Anastasie MASANGA MAPONDA, l’incarnation des antivaleurs ![3]
[3] Voir leur communiqué « ESU/UPN : ostracisme de la rectrice Anastasie MASANGA » : « Le laïcat provincial de l’Eglise du Christ au Congo, ECC/Kinshasa, monte au créneau et se dit indigné du traitement dégradant et humiliant infligé à cette digne fille de la 18ème Communauté Evangélique de l’Alliance au Congo (CEAC) par certains étudiants instrumentalisés par un réseau maffieux des agents de cette alma mater. En sus, il appelle les Autorités compétentes à démanteler ce réseau qui trouble la quiétude de la Communauté universitaire de l’UPN ».
Pourquoi n’avaient-elles pas recadré leur fille lorsqu’elle trompait publiquement devant les micros et caméras avoir construit des cliniques universitaires pour l’UKV/Boma : ce qui est faux ?
Pourquoi ne l’ont-elles pas rappelée à l’ordre lorsque plusieurs rapports de l’IGF et du personnel de l’UPN dénonçaient sa mégestion ?
On croyait que ces Eglises étaient sérieuses, mais nous constatons qu’elles adhèrent au mal, parce qu’elles sont peut-être corrompues par cette dame qui s’illustre depuis longtemps par la corruption des Autorités aussi bien publiques qu’ecclésiales.
Que ces Eglises servent l’Evangile et la justice au lieu d’être des apôtres du mensonge et de l’obscurantisme.
C’est donc pour faire rire les oiseaux, sinon amuser la galerie qu’ elle affirme avoir bien géré et fait de la lutte contre les antivaleurs, son cheval de bataille.
Nous y reviendrons.
Eugène Ngimbi Mabedo
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