I. Rappel du contexte politique
L’expiration du second et dernier mandat du Président Joseph Kabila Kabange devant intervenir le 20 Décembre 2016 s’était prorogée de deux ans.
C’était avec la complicité de la Commission Electorale Nationale Indépendante, CENI en sigle sous la présidence atypique de Corneille Nangaa Yabeluo, qui, à l’instar de ses prédécesseurs feu Monsieur l’Abbé Apollinaire Muholongu Malu-Malu (Elections de 2006) et le Pasteur Daniel Ngoy Mulunda-Nyanga (Elections de 2011) n’était lui aussi que le bras séculier du pouvoir en place.
Face à la crise persistante et récurrente, une initiative est prise pour des négociations directes au Centre Interdiocésain de Kinshasa, sous la médiation de la Conférence Episcopale Nationale Congolaise, CENCO en sigle avec à la tête, Mgr Marcel Utembi Tapa, Archevêque de Kisangani et Président de la Cenco, et Mgr Fridolin Ambongo Besungu, Vice-Président, Archevêque de Kinshasa.
Mais à la signature le 31 décembre 2017 des « Accords de la Saint Sylvestre », les réfractaires au changement profitent de l’évacuation sanitaire quelques jours plus tôt vers la Belgique du « Leader Maximo » et « Sphinx de Limete » Etienne Tshisekedi wa Mulumba pour travestir lesdits Accords.
Ainsi ceux qui détiennent l’impérium s’empresseront de mettre en place à la tête des institutions, des animateurs contre l’esprit et la lettre des « Accords ».
Si le Premier Ministre Bruno Tshibala Nzenze transfuge de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS en sigle, rempile au poste de 1er Ministre, Joseph Olengankoy est nommé à la tête du Comité National de Suivi des Accords de la Saint Sylvestre, CNSA en sigle.
Tandis qu’en même temps, bon nombre d’entre les opposants d’hier qui ont été avec Etienne Tshisekedi à la rencontre de Genval en Belgique, débauchés par le pouvoir, vont rejoindre eux aussi « La Mangeoire ».
Au nom de la vigilance citoyenne, naît cependant en 2018, le « Comité Laïc de Coordination », CLC en sigle qui, par des actions de mobilisation de la population toutes confessions religieuses confondues, va finir par contraindre le Président Kabila à ne pas modifier la Constitution dans ses dispositions intangibles, et de ce chef, à ne pas se représenter à la fin de son second et dernier mandat.
Pour y parvenir, les actions du CLC vont aller crescendo, culminant par un appel à deux marches pacifiques.
Successivement le 21 janvier 2018 et le 25 février 2018.
Il s’en suivra une répression sanglante dans les paroisses, jusque dans les enceintes des églises.
Les fidèles chrétiens seront fauchés par tirs à balles réelles sans sommation, pendant que d’autres seront arrosés par des bombes et des gaz lacrymogènes; et des prêtres humiliés devant leurs fidèles sans aucun respect pour leurs engagements ni pour leur dignité.
Rossy Mukendi Tshimanga ayant reçu une balle à bout portant devant le portail de la Paroisse Saint Benoît de Lemba à Kinshasa décédera à l’Hôpital Saint Joseph de Limete.
Tandis que Dechade-Thérèse Kapangala, jeune aspirante à la vie religieuse succombera de ses blessures à la Paroisse Saint François de Kintambo à Kinshasa.
Les actions du « Comité Laïc de Coordination » seront confortées par la tonitruante et célèbre déclaration du Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya qualifiant la classe politique congolaise de « Médiocre ».
Une admonestation qui sera aussitôt reprise avec emphase par l’un des hauts responsables de l’Eglise du Christ au Congo, ECC en sigle, d’obédience protestante, le Révérend Pasteur Jean-Louis Ekofo.
A l’avantage que toutes ces fléchettes de la lutte pacifique non violente décochées par d’acteurs aux mains nues sans défense vont finir par infléchir la ligne dure prônée jusqu’ici par les tenants du pouvoir qui n’entendaient rien concéder.
A la surprise générale, dès lors qu’un passage en force était à craindre pour un troisième « Pénalty » (dixit Moïse Katumbi Chapwe s’opposant à un quelconque troisième mandat), le dauphin désigné de l’ancien Président Joseph Kabila sera Sieur Emmanuel Ramazani Shadary, le Secrétaire Général du « Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie », PPRD en sigle.
Feu Jacques Mbadu Nsitu di Mavungu
Soit dit en passant, feu le « Lourd » Gouverneur du Kongo Central Jacques Mbadu Nsitu di Mavungu décédera dans la matinée, dans des circonstances jamais élucidées, le 18 juillet 2018 le jour où les deux chambres du Parlement étaient réunies en Congrès, le Président Joseph Kabila se gaussant dans la foulée au cours de la Plénière, de « sa passion pour le Congo »(sic).
« Jacques Ya Ba Moyens » qui de passage à Kinshasa, avait coutume de s’enfermer pour « bosser », dans le même Immeuble sis Mont des Arts à la Gombe abritant le Libanais KAMAL FEGHALI.
Monsieur KAMAL notoirement connu pour être le « Monsieur élections » de Joseph Kabila, à en croire « Jeune Afrique » dernièrement « convoité » par l’UDPS pour les élections générales de 2023.
Quelques semaines avant les élections, un Conclave entre les ténors de l’opposition se tient à Genève sous la direction de Monsieur ALAN DOSS, l’ancien Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC et de ce fait à la tête de la MONUSCO de 2007-2010, au nom d’une ONG créée quelques années plus tôt par feu Koffi Annan.
Au terme d’un vote au cours dudit Conclave, Martin FAYULU est désigné par ses pairs de l’opposition « candidat unique » de la plate-forme électorale « LAMUKA » qui se traduit en lingala facile par « Réveilles-toi » !
Non contents malheureusement d’une telle issue, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et Vital Kamerhe Lwa Kanyiginyi Nkingi ayant régulièrement pris part aux travaux du Conclave de Genève vont aussitôt se rebiffer et renier lesdits Accords au cours d’une nouvelle rencontre organisée à Nairobi à l’initiative des plus hautes autorités kenyanes.
Tous deux signent un nouveau pacte électoral à travers une nouvelle plate-forme qui sera dénommée «CAP POUR LE CHANGEMENT », CACH en sigle.
En dépit de la controverse née de l’utilisation ou non de la machine à voter, les élections générales présidentielles, législatives nationales et provinciales seront organisées le 30 décembre 2018 sans incidents majeurs.
Tandis que celles des sénateurs, le 15 mars 2019 et celles des gouverneurs des Provinces mercredi 10 avril 2019 se dérouleront toutes sur fonds de corruption à grande échelle.
Petit bémol : ces élections générales ne seront pas organisées sur l’étendue du territoire de Yumbi dans la province du Maï-Ndombe pour cause des massacres inter-ethniques entre Ba-Tende et Ba-Nunu et dans les territoires de Beni et Butembo pour cause de l’épidémie à fièvre hémorragique d’Ebola, reprogrammées pour le mois de Mars 2019.
Secret de Polichinelle, tant les nationaux que la communauté internationale seront d’avis que la victoire attribuée à l’opposant Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à l’élection présidentielle serait le fait attesté d’un « deal secret » conclu entre lui, le Président « nommé », sinon « désigné » et le Président sortant, le Sénateur à vie Joseph Kabila Kabange.
Un « gentleman agreement » qu’un diplomate français qualifiera plus tard d’un « arrangement à l’africaine ».
Visiblement, le Président « sortant » et « Sénateur à vie » Joseph Kabila Kabange continuera de garder le contrôle ainsi qu’une mainmise sur tous les rouages de la vie nationale.
Notamment : le Gouvernement, l’Assemblée Nationale, le Sénat, les Assemblées Provinciales, les gouvernements provinciaux, l’Armée, la Sécurité, la Défense, la Justice, les Cours et Tribunaux, les Entreprises, les Finances…
En clair, le changement intervenu en RDC, selon de nombreux observateurs et à en croire d’analystes avertis, l’était de manière superficielle, voire « cosmétique ».
Ainsi, le nouveau Président « élu » « confirmé » par la Cour Constitutionnelle semblait ne pas disposer de tous les leviers du pouvoir.
Avec des partisans de l’ancien Président de la République qui n’hésitaient pas de brandir l’Epée de Damoclès sur la tête du Président « entrant », si tant est qu’il ne se conformait pas à la ligne de l’Autorité Morale du Front Commun pour le Congo, FCC en sigle.
II. Incidences socio-économiques
Cela se justifiait aisément par le contexte de la coalition et de la cohabitation où il se trouvait englué littéralement en position de faiblesse, « pris en otage ».
Une posture qui ne lui laissait aucune marge de manœuvre devant lui permettre d’entreprendre une quelconque réforme significative.
Pour dire les choses telles qu’elles se présentaient, le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo s’était inscrit dans une démarche « accommodante » pour ne pas effaroucher ses partenaires de la coalition.
Avec pour cela, des « effets d’annonce ».
A l’instar de son Programme d’Action de Cent Jours, de la Gratuité de l’enseignement primaire, de la Suppression des cachots de l’Agence Nationale des Renseignements, de la Délocalisation de l’Etat-Major des Forces Armées et leur implantation à l’Est du pays, de la Lutte contre la corruption endémique, du Libre accès des opposants aux médias publics, de la Liberté des manifestations publiques et pacifiques, de l’Amélioration des conditions socio-économiques des populations, du Respect strict par les opérateurs politiques de la nouvelle Charte de Bonne Conduite avec devoir de démission…
Tandis qu’au plan international, il renvoyait l’image d’un chargé du lobbying improductif pour la levée des sanctions internationales à l’endroit des partisans de Joseph Kabila.
Sans doute pour leur éviter, lui et ses comparses du FCC des comparutions devant les juridictions internationales, les mêmes qui, a contrario lui promettaient la foudre, au cas où il se risquerait à revisiter les contrats miniers ou pétroliers.
Pire, celui dont on a salué le premier geste du fait de la remise des frais des Missions non utilisés au Trésor Public, à l’instar du Premier Président de la République feu Joseph Kasa-Vubu en conformité avec la devise de feu son père « le Peuple d’abord » semblait depuis avoir fait un virage à 180 degrés.
C’était désormais le bal d’un nouveau bail avec des multiples virées festives, en face d’une population déshumanisée par la misère et la lutte quotidienne pour la survie ; des embauches à base tribale, des villégiatures aux allures de tourisme « diplomatique » et autres…
Pendant que des situations au pays appelaient des décisions urgentes d’autorité, l’on a assisté à la signature des contrats de gré à gré parfois avec des entreprises de création récente ; la consommation, à la limite de la dilapidation des deniers publics sans aucune ratio, légitimant scandaleusement des « rétro-commissions » en toute impunité.
C’est l’enrichissement sans cause, la prédation à ciel ouvert par la nouvelle caste qui s’offre en spectacle, sillonnant les artères défoncées de nos villes à l’abandon, voitures rutilantes dernier cri, cortèges enflammés et enfumés. Liste non exhaustive.
D’aucuns, considérant le verre à moitié vide, ont qualifié la nouvelle gouvernance d’« insulte » au peuple ayant naïvement cru au « changement radical » comme le clamait si bien le Mythique Sphinx de Limete.
III. Jusqu’où aller plus loin?
La coalition FCC-CACH fondée sur des prémisses fausses renfermait en elle-même les germes de son autodestruction, les partisans de deux plates-formes s’observant en chiens de faïence.
Si le souhait de la population fut de voir le nouveau Président s’affranchir des pesanteurs du système de l’ancien régime, le Président Joseph Kabila par contre n’entendait nullement lui laisser les coudées franches.
Tant « les Gardiens du Temple » veillaient au grain : l’honorable Jeanine Mabunda et l’honorable Alexis Thambwe Mwamba respectivement à la tête de l’Assemblée Nationale et du Sénat.
Dans cette perspective, la RDC risquait à tout moment de plonger dans une crise dont il était difficile de prédire les contours, encore moins les conséquences.
A considérer les juteux marchés de cobalt, du coltan, du cuivre, du lithium et d’autres minerais dit « de l’avenir », tout était planifié pour que la majorité autour de Joseph Kabila reprenne à nouveau les rênes du pouvoir par toutes les voies possibles.
IV. Incidences géostratégiques dans la région des grands lacs
Point besoin de rappeler que l’économie du Rwanda repose sur l’exploitation illégale des ressources naturelles congolaises, à travers des groupes armés toujours très actifs dont le M23 qui écument la région des grands lacs ce, avec le soutien des Mammouths de la prédation mondiale.
L’on aura toujours à l’esprit le sulfureux pavé jeté dans la marre par l’ancien Président français Nicolas Sarkozy devant le corps diplomatique le 16 janvier 2009 à Paris plaidant pour une nouvelle approche si tant est que l’on voulait régler de façon globale et quasi définitive la question de l’instabilité dans la région des grands lacs.
Qui parlait d’un pays « à la démographie dynamique et à la superficie petite » lorsqu’il s’ agit de l’avenir du Rwanda et de la RDC d’un pays « à la superficie immense et à l’organisation étrange des richesses frontalières » (sic).
Voilà qui explique et justifie la politique des massacres à grande échelle avec la complicité de certaines autorités congolaises, l’ultime finalité étant de contraindre les populations autochtones à quitter les terres de leurs ancêtres afin de libérer l’espace pour la transplantation des populations du Rwanda.
La création ex-nihilo du territoire de Minembwe et la naissance progressive d’autres territoires au Sud-Kivu, y compris l’occupation forcée des territoires et des pans entiers de l’Est de la RDC au profit des populations Tutsi-Rwandaises sont à coup sûr, la mise en marche et la concrétisation du plan machiavélique visant à balkaniser la RD-Congo.
Avec pour effet escompté : Réussir « à tout prix » à rattacher une partie de l’Est de la RDC dans un vaste empire qui inclurait le Rwanda.
Que le Ministre et Avocat, Maître Azarias Ruberwa Manyiwa ait eu à trôner régulièrement à la tête du Ministère de la Décentralisation, ayant eu en sus à occuper, le fauteuil de la Commission Gouvernementale « Politique » avec dans ses attributions la Défense et la Sécurité dans le régime 1+4, sont là le gage de la stratégie participant d’un plan rampant de balkanisation de la République Démocratique du Congo.
Au-delà du fait que la page de la coalition FCC-CACH ait été définitivement tournée avec la création de l’Union Sacrée Pour la Nation, l’opinion rd-congolaise reste sur ses gardes au nom d’une suspicion plutôt légitime.
Car elle redoute, à tort ou à raison, que le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo réélu à travers des élections « chaotiques » du 20 décembre 2023 ne soit, une fois de plus, cette « main noire » que l’on utiliserait à volonté par les forces obscures multinationales dans un « deal new look ».
Des compatriotes craignent que sous la pression des forces occidentales, il ne soit chargé d’apporter des béquilles nécessaires indispensables à la finalisation du plan sournois et diffus de la balkanisation de la RDC, sous le mode de l’auto-détermination du Sud-Soudan ou du Kosovo.
Même si le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo est reputé pour être ce Chef d’Etat qui hausse régulièrement le ton en montrant à la face du monde, que la RDC reste agressée par le Rwanda voisin qui perpètre en les perpétuant, toutes sortes des crimes contre l’humanité, de génocide, de guerre ainsi que les crimes économiques. Tous imprescriptibles.
Mais cela, croient les congolais et les panafricanistes ne suffit pas. Il faut désormais passer à l’offensive en arrêtant d’être l’éternel pleurnichard qui renvoie certains à l’ouvrage inachevé de Jean-Jacques Rousseau y décrivant à longueur des pages, les persécutions secrètes subies et au titre plutôt évocateur: « Les Rêveries du promeneur solitaire ».
En conclusion…
Il nous faut sortir de ces « pièges à cons » où nous sommes passés « d’irrégularités en irrégularités » pour emprunter une formule chère à feu le Prélat d’heureuse mémoire Laurent Monsengwo Pasinya lors des Assises de la Conférence Nationale Souveraine.
Depuis l’entrée des troupes de l’AFDL au Zaïre de Mobutu, métastasées en RCD, CNDP, aujourd’hui en M23, la RDC qui est pourtant un pays-continent reste le maillon faible et le ventre mou des pays de la région des grands lacs.
L’adhésion à la nébuleuse « EST AFRICAN COMMUNITY » la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Est est à inscrire dans les erreurs du passé qu’il faille corriger illico presto.
Qu’est-ce à dire ?
De UN.
Il y a une impérieuse nécessité à souscrire souverainement aux Accords de Défense, tant sans l’appui et le soutien de grandes puissances mondiales de défense, l’on reste à la merci de ceux qui sont à la base de l’instabilité et de l’exploitation subséquente des ressources naturelles de la RDC.
La RDC doit se mettre, non sans risques sous le parapluie de l’un ou de deux parmi les cinq pays Membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Sinon, et à tout le moins, prendre langue avec les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) comme étant l’alternative en face d’un nouvel ordre mondial voulu « unipolaire » par ceux qui soutiennent le Rwanda.
De DEUX.
La RDC doit actionner impérativement « Tous » les Mécanismes à sa disposition pour contraindre au respect, les voisins immédiats et les bailleurs Multinationaux lointains que sont des puissances prédatrices qui ne pensent aucun bien du Congo.
A l’aube de l’agression de la RDC, la RDC avait bénéficié de la dextérité des négociateurs de la trempe du Bâtonnier feu KISIMBA NGOY NDALEWE.
Et la RDC ne manque point des ressources humaines poignantes capables de faire infléchir le cours des événements.
La page des jérémiades devant être définitivement tournée, il faut désormais passer aux actes et aux mesures fortes et courageuses, tant « qui veut la paix, prépare la guerre ».
Et l’un des textes qui offre les meilleures garanties de stabilité pour la RDC est le Pacte sur la Sécurité, la Stabilité et le Développement dans la Région des Grands Lacs signé et ratifié à Nairobi le 15 décembre 2006.
Ce n’est donc pas l’Accord-Cadre d’Addis-Abeba de du 24 février 2013, repris et complété par la Résolution 2098 du Conseil de Sécurité, tant celui-ci aura été une véritable fiction feinte avec pour finalité, de livrer le pays aux mains de l’Ennemi, de l’Adversaire et de l’Etranger.
Avec cette pertinente analyse d’un des représentants de la Composante « Gouvernement » aux différentes négociations entre congolais, le ci-devant Professeur Banyaku Luape Epotu: LA VALIDITE JURIDIQUE ET INTERNATIONALE DU PACTE SUR LA SECURITE, LA STABILITE ET LE DEVELOPPEMENT DANS LA REGION DES GRANDS LACS.
Une contribution qui mérite d’être couplée à « Une réflexion de l’Honorable Pierre Anatole MATUSILA MALUNGENI NE KONGO, Président Général de l’ABAKO » : GUERRE A L’EST DE LA RDC: QUELLE STRATEGIE ET QUELLE TACTIQUE FACE A L’ADVERSAIRE?
Pour y parvenir, LA REVISITATION DES ACCORDS RELATIFS A LA REGION DES GRANDS LACS RESTE UN IMPERATIF CATEGORIQUE POUR UNE SORTIE DE CRISE ET UNE PAIX DURABLE.
Au demeurant, le Chef de l’Etat, dans les rounds à venir, tel « Le Surhomme » devra faire preuve de « La Volonté de Puissance » et droit dans ses bottes, porter haut, la voix des Congolais qui n’aspirent dans leur majorité qu’au retour de la Paix.
« Le Surhomme » et « La Volonté de Puissance »: des titres ici empruntés à deux ouvrages du philosophe allemand Friedrich NIETZSCHE qui a égalent écrit:
« AINSI PARLAIT ZARATHOUSTRA »!
Dont Acte.
Eugène Ngimbi Mabedo
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