Si la corruption est un poison qui mine la bonne marche des Etats vers l’égalité des droits par l’équitable distribution des biens et des richesses nationales, l’impunité demeure un virus qui empêche la moralisation de la vie publique par la sanction qui garantit la paix sociale, nul n’étant au-dessus de la loi.
L’homme-orchestre au cœur de toutes les machinations, mensonges, calomnies et contre-vérités au diocèse de Budjala vient enfin d’être formellement identifié, grâce à l’état d’avancement de nouvelles technologies de l’information et de la communication, l’intelligence artificielle avec ses outils nec plus ultra réduisant de manière infinitésimale, l’espace de l’ignorance, ce mal insubmersible du vaste champ de la connaissance.
Ils sont légion sans aucun doute, mais il reste le maître d’œuvre qui respire le mal tel l’air dans la nature. C’est à se demander s’il n’est pas l’un des représentants lucifériens sur la terre des vivants.
Lui, c’est Monsieur Adolphe Mbele Vonga, l’ancien secrétaire chancelier de Monseigneur l’Evêque diocésain Philibert Tembo Nlandu cicm dont il a été le plus proche collaborateur et qui, de cette confiance statutaire devrait s’astreindre au devoir de réserve.
Mais qui, a contrario, fort des fonctions exercées dans la plus grande proximité de l’Autorité, joue au maître-chanteur, se disant qu’on ne saurait douter de ses funestes et sulfureux montages, diffuseur des messages haineux et de faux bruits qui ne s’en cache plus au diocèse de Budjala.
Bas les Masques, « Le fils des ténèbres » qu’évoque la dernière Exhortation des Evêques rd-congolais, c’est lui.
« Plus grave encore est le fait de répandre de fausses accusations contre votre Evêque dans les réseaux sociaux dans le but de nuire à sa réputation. Chrétiens, nous sommes appelés à être la lumière pour les autres et non à nous laisser influencer par les fils des ténèbres ».
A l’action, la réaction…
Au diocèse de Budjala, d’odieux montages se succèdent à la vitesse d’un éclair, à l’initiative, autres temps, autres mœurs-o tempora, o mores-, d’hommes et des femmes d’église s’offrant à ce qui devenu leur dada.
A savoir : créer ex nihilo toutes sortes des rêveries possibles parmi les plus malveillantes à l’endroit de l’Autorité ecclésiastique la plus représentative, ci-devant Monseigneur l’Evêque Philibert Tembo Nlandu cicm.
Mais ce qu’ils ignorent, c’est que les réseaux sociaux sont devenus un couteau à double tranchants.
Car grâce à Google Maps, la commune et la zone d’habitation d’un quidam dans un quartier périphérique de la Ville-Province de Kinshasa à titre exemplatif ainsi que les coordonnées de l’ « hébergeur»-au propre et au figuré-peuvent être géo localisées avec précision, l’« ID », entendez l’identité de l’un ou/et de l’autre scanné, leurs allées et venues référencées à la minute-près, le crime parfait devenant de ce fait, difficile, voire impossible.
Qui s’y frotte s’y pique…
A l’Archidiocèse de Kinshasa, des prêtres dominicains qui se sont rebellés contre l’autorité, allant jusqu’à persévérer dans une lutte frontale sans merci contre l’Ordinaire du lieu, le ci-devant Cardinal-Archevêque Fridolin Ambongo Besungu ont fini par atterrir au Centre Pénitentiaire de Rééducation de Kinshasa, CPRK en sigle, l’ex prison Centrale de Makala.
S’étant sentis soutenus au départ par des supérieurs doctes de l’Ordre des Frères Prêcheurs en matière de Droit Canonique, ils ont crû que tout leur était permis.
Erreur, car même au sein de l’Eglise, il y a des limites qu’il faut s’interdire de franchir, de peur de voir les saintes colères et les foudres de l’enfer s’abattre sur soi.
Errare humanum est, perseverare diabolicum.
Moralité? Il faut donc cesser de prendre la très longue patience ainsi que l’offre sincère du pardon de Monseigneur l’Evêque pour une faiblesse ou de la naïveté.
Car dès lors que l’Ordonnance-Loi N°23/10 du 13 mars 2023 Portant Code du Numérique a été signée par le Président de la République et publiée au Journal Officiel, plus ne rien ne saurait être comme avant. Tenez!
–Article 356: « Quiconque aura, intentionnellement, créé, téléchargé, diffusé ou mis à la disposition du public par le biais d’un système informatique des écrits, contenus, messages, photos, sons, vidéos, dessins ou toute autre représentation d’idées ou de théories, de nature raciste, tribaliste ou xénophobe ou sous quelque forme que ce soit, au sens de la présente ordonnance-loi et conformément aux dispositions de l’ordonnance-loi n°66-342 du 07 juin 1966 portant répression du racisme et du tribalisme, sera puni d’une servitude pénale d’un mois à deux ans et d’une amende d’un million à dix millions de francs Congolais ou de l’une de ces peines seulement ».
–Article 358: « Quiconque initie une communication électronique qui contraint, intimide, harcèle ou provoque une détresse émotionnelle chez une personne, en utilisant un système informatique dans le but d’encourager un comportement haineux, tribal et hostile aux bonnes mœurs et aux valeurs patriotiques est puni d’une servitude pénale d’un mois à deux ans et d’une amende de cinq cent mille à dix millions de Francs Congolais ».
–Article 359: « Quiconque aura harcelé, par le biais d’un système informatique ou d’un réseau de communication électronique, une personne alors qu’il savait ou aurait dû savoir qu’il affectera gravement par ce comportement la tranquillité de la personne visée, sera puni d’une servitude pénale d’un mois à deux ans et d’une amende de cinq cent mille à dix millions de Francs Congolais ou de l’une de ces deux peines seulement ».
C’est dire que la liberté la plus totale, synonyme du libertinage le plus permissif reste prohibée, la liberté de chacun s’arrêtant où commence celle d’autrui.
Ceux qui ont cru qu’avec les NTIC, la voie était toute balisée, ouverte à la cybercriminalité, vont devoir déchanter, faute d’intérioriser la nouvelle Loi innovante, à tout le moins répressive et contraignante.
Ce qui appert donc respect des règles éthiques et déontologiques, en toute responsabilité et dans une autorégulation assumée.
On ne saurait escamoter les principes philosophiques de l’altérité face à une phénoménologie égocentrique qui postule le surdimensionnement de l’Ego.
L’Abbé Jean-Pierre Makamba Ma Muzinga de l’Archidiocèse de Kinshasa parlerait de « bo-ngai » ; à l’opposé du Primat de la « Bisoïté » sur l’Intersubjectivité cher à feu le Professeur Tshiamalenga Ntumba, penseur congolais ayant passé l’arme à gauche, laissant derrière lui une foisonnante production bibliographique en langue allemande.
Voilà qui explique qu’à la cybercriminalité et la cyber délinquance galopantes, bon nombre d’entre les Etats modernes mettent désormais en place, la cyber sécurité et toutes les dispositions idoines, question de réguler en le contrôlant, tout quelconque dérapage possible.
L’ancien secrétaire chancelier aux relents hitlériens, Sieur Adolphe Mbele Vonga se proposerait, selon les dernières nouvelles qui nous parviennent, d’étendre son œuvre de destruction massive à l’endroit de nombreuses autres autorités religieuses de la CENCO.
Qu’il menacerait sans ménagements, pour n’avoir pas fait allégeance à son vœu, sacré psychopathe illuminati, qui a longtemps caressé le rêve fantômatique de voir Monseigneur l’Evêque du Diocèse de Budjala ne plus regagner son fief pastoral.
L’homme n’en démord pas, avec la méthode d’intimidation et le ton toujours menaçant qui lui sont caractéristiques, à savoir : « Tenez-moi, sinon je fais un malheur ».
Et qu’atteste à merveille ce message sibyllin posté par lui dans un des groupes Whatshapp dont copie en notre possession grâce à un travail des fourmis par nos fins limiers, ses numéros des contacts tous bien notés et contrôlés:
« Si l’évêque TEMBO continue de manipuler Monsieur un tel pour nous distraire, nous risquons de tout mettre ici dans le groupe. Parce que nous détenons une dizaine d’audios des communications enregistrées de l’évêque TEMBO avec certaines grandes personnalités de la CENCO et ses proches collaborateurs sur le dossier de Budjala. Donc nous vous mettons en état d’alerte maximale. Ne nous poussez pas au bout.»
Ainsi se préparerait-il avec quelques badauds, de brandir,au cours d’un imminent sit-in, quelques banderoles à la devanture du Centre Interdiocésain de Kinshasa d’où l’on verrait affiché: « Pas de retour de Monseigneur Philibert Tembo Nlandu cicm au diocèse de Budjala ».
Mais qui d’ores et déjà vient d’instrumentaliser des jeunes depuis le matin du jeudi 23 novembre 2023, en alignant le long de la route qui mène vers le Territoire de Budjala, une série des banderoles avec pour motif : «BUDJALA DIT NON AU RETOUR DE L’EVEQUE TEMBO A BUDJALA ».
Mais ce que l’ancien secrétaire chancelier Adolphe Mbele Vonga ignore, est que selon l’Ecclésiaste , chapitre 3, il y a un temps pour tout : un temps pour faire la paix, mais aussi un temps pour faire la guerre.
Un homme averti…
Amédée Biamungu Biamungu
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