Au Diocèse de Budjala dans le grand Equateur, des « faibles d’esprit » connus pour leur cyber délinquance avérée ne cessent d’inonder la toile de leurs chiffons.
Des torchons en « Remake » car « du déjà-entendu » qui de ce chef, comme de tous les « Fake », finissent à coup sûr dans les poubelles de l’histoire.
Cela est d’autant plus vrai que tant la forme et le fond de ces papiers abracadabrantesques suscitent dégoût, ridicule et indignation, initiative des délateurs-zélateurs véreux, exécrables, leur sport favori rappelant les pratiques surannées d’un temps révolu.
Mensonges, calomnies et contre-vérités, les trois piliers d’un axe, celui du mal, qui ne peut faire que des dégâts, si l’on n’y prend garde.
Mais la Majorité à la base fort heureusement veille désormais au grain, question de ne plus se laisser duper par des manipulateurs patentés qui s’accommodent du statu quo ante.
On ne le dira jamais assez :l’on ne bâtira jamais rien de durable dans nos diocèses, dans notre sainte Eglise et dans notre grand et beau pays le Congo démocratique sans un minimum de sincérité dans la vérité.
L’objectif visé par ces « petits esprits » faciles à identifier, qui ne sont pas à leur premier coup d’essai, est de traîner dans la boue, en jetant aux pourceaux, l’honneur de leur père-Evêque, Mgr Philibert Tembo Nlandu cicm en l’exposant au mépris public.
Question de porter un ultime coup de massue aux inlassables efforts consentis ça et là pour un retour à la normale et l’amorce d’un nouveau climat apaisé au sein du diocèse de Budjala.
D’ores et déjà, il n’est pas surprenant qu’il y ait une autre affaire, après cette scabreuse saga « montée de toutes pièces » en septembre dernier, de nouveau sur la sellette pour les besoins de la cause par d’hommes sans couilles, incapables d’assumer leurs opinions ainsi que les conséquences qui en découleraient.
Nous revoici dans un odieux mensonge autour de l’ancienne intendante, la révérende Sœur Ephrem EPANGA de Jésus qui a demandé officiellement, en bonne et due forme, d’aller assister sa famille.
Une famille aujourd’hui indignée et révoltée par un montage qui jette l’opprobre sur elle, nos fins limiers ayant eu le privilège de l’approcher.
Puis, Patatras ! Une nouvelle fumisterie faisant état d’une farouche « opposition » au retour de Mgr L’Evêque à son siège épiscopal de Budjala.
Œuvre funeste d’un véritable laboratoire, non de radiodiagnostic au service la population, mais celui de 18 signataires pétitionnaires qui disent représenter l’ensemble du diocèse et parler en son nom, comprenant en son sein: « le Laïcat du diocèse de Budjala, la Société Civile de Budjala, la Notabilité de Budjala, le Parlement des Jeunes du Territoire et Quelques chrétiens engagés » (sic).
Mais que viendrait donc faire ici la Société civile, le Parlement des Jeunes aux côtés du « Laïcat de Budjala » dans une affaire de l’Eglise particulière qu’est le diocèse catholique de Budjala ?
Zeus le Dieu grec rendait généralement « fous » ceux qu’il s’apprêtait à perdre.
La Constitution de la RDC du 18 février 2006, amendée le 20 janvier 2011 en son article 31 stipule clairement que :
« Toute personne a droit au respect de sa vie privée et au secret de la correspondance, de la télécommunication ou de toute autre forme de communication. Il ne peut être porté atteinte à ce droit que dans les cas prévus par loi ».
Et il n’est pas dans les us et coutumes de l’Eglise catholique romaine de parler publiquement des individus, encore moins de la vie privée des personnes.
Malheureusement l’on assiste depuis un temps à des lynchages médiatiques auxquels on soumet des personnalités, souvent motivés par un esprit de vengeance ou des règlements des comptes, question de nuire, de porter atteinte à l’honneur et à la crédibilité d’hommes ou des femmes respectables, probes et honnêtes parmi lesquels des Princes de l’Eglise, des collaborateurs et collaboratrices.
Dans le cas d’espèce, les experts en cybercriminalité mis à contribution ont très vite décelé l’origine de cette énième feuille de choux, le style et le narratif, le lieu de sa rédaction, le type des machines utilisées ainsi que la première personne à l’avoir mise en ligne, certains étant passés aux aveux.
Avec l’unique ambition de produire un torchon, sinon une feuille de choux comme savent en fabriquer ces vidangeurs des caniveaux, passés maîtres en basses besognes ayant perdu la tête dans une République du Bon sens et de l’Excellence.
On aurait voulu voir les commanditaires tapis dans l’ombre, s’abreuver aux sources intarissables de la Tradition, du Magistère et même de la Patristique en s’inspirant des Saintes Ecritures, la méditant jour et nuit.
Que non ! Ils passent le clair de leur temps à se faire bonne conscience, sacrés donneurs des leçons de morale et des semonces éthiques devant l’Eternel.
Alors que tout porte à croire qu’ils ne sont que des pharisiens et autres scribes des Evangiles qui, tels des sépulcres blanchis aux cadavres en putréfaction ne seraient que des loups voraces en peaux d’agneaux.
« Des fils des ténèbres » qu’il faille exorciser à tout prix. Sans plus.
Sans tarir d’imagination, ils concoctent toutes sortes d’histoires cousues de fil blanc qu’ils mettent en scènes, confondant la « Civitate Dei » chère à l’Evêque d’Hippone Saint Augustin à la « Cité terrestre ».
Mais en toutes choses, considérer la fin, dit-on.
Si en effet cette sulfureuse architectonique a été orchestrée, c’est en désespoir de cause afin de jeter, dans un dernier sursaut, un discrédit à la dignité d’un homme de Dieu au service de l’Eglise et de la Nation afin qu’il s’en aille, espèrent-ils.
« Nous disons NON A VOTRE RETOUR A BUDJALA sauf votre départ pour un autre diocèse, et informons toutes les autorités à ce sujet pour une paix sociale à Budjala surtout en ce moment des élections dans notre pays ».
Ceci explique donc cela.
148 Leaders représentant les Forces vives à l’issue d’une rencontre tenue à la Paroisse Sainte Elisabeth de Gemena autour de leur Père-Evêque Mgr Philibert Tembo Nlandu cicm pour le retour de la paix au diocèse de Budjala dans un esprit de « Vérité et Réconciliation »…
OYO AZALI NA MATOYI YA KOYOKA, AYOKA !
Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende !
Comprenne qui peut.
Ci-dessous la toute dernière Exhortation de la CENCO relative à la situation prévalant au diocèse de Budjala.
Amédée Biamungu Biamungu