Date : 1er juillet 2022
Par : M. Clément MBUYAMBA BANDOA
Combattantes, combattants,
Très chers Compatriotes,
Comme promis, voici le moment de nous retrouver pour réfléchir ensemble sur la situation actuelle de notre pays, afin de prendre les décisions qui vont déterminer notre avenir.
Je ne saurais commencer mon propos sans rendre hommage à nos pères fondateurs, dont le rêve immortel, autant que les sacrifices, ont permis de bâtir un projet de société unique qui a fait école en Afrique et dans le monde. Ils ont mérité du Peuple et de la Nation, particulièrement le meilleur d’entre eux, l’immense et éternel Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
∙ HOMMAGE à nos martyrs ; jeunes et vieux, femmes et hommes, qui ont donné de leur sueur et de leur sang, pour que se fonde, dans notre pays, l’espérance d’une vie meilleure au sein d’une société libre, démocratique et fondée sur l’état de droit.
∙ GLOIRE à tous ceux qui ont subi tortures, bastonnades, emprisonnements, relégations, humiliations et, grâce à qui, la flamme de l’idéal démocratique a été maintenue allumée pour un Congo plus beau qu’avant.
Combattantes, combattants,
Très chers Compatriotes,
Ce discours est celui du patriotisme, celui de l’amour que nous devons tous avoir pour le Congo et le peuple congolais. Il n’est ni satire, ni procès. C’est l’expression d’une opinion politique auquel le Chef de l’Etat, Félix-Antoine TSHISEKEDI, souscrit quand il déclare le 7 février 2021 alors qu’il venait de prendre la tête de l’Union Africaine :
« JE NE COMPRENDS PAS POURQUOI DES GENS MEURTRIS, AFFAMES, FRAPPES PAR LE CHOMAGE ET TOUS GENRES DE CALAMITE CHANTENT A NOTRE GLOIRE ALORS QU’ILS DEVRAIENT NOUS EXIGER PLUS COMME C’EST LE CAS EN OCCIDENT.»
Cette remontrance faite aux populations africaines, au grand dam de ses pairs africains, légitime notre mission de scruter à la loupe les faits et gestes du Chef de l’Etat dans la conduite des affaires publiques.
Cet exercice, auquel l’histoire de notre pays nous appelle, ne peut avoir de pertinence que s’il tient compte des trois phases de notre longue lutte pour la Démocratie et l’Etat de droit :
∙ d’abord, en ce qui concerne le rêve de nos pères fondateurs ;
∙ Ensuite, concernant le rôle que chacun de nous doit jouer dans le cadre du projet de société de l’UDPS et ;
∙ enfin, l’impact de ce rêve sur le type de gouvernance actuellement au pouvoir dans notre pays.
Combattantes, combattants,
Très chers Compatriotes,
Le rêve des pères-fondateurs de l’UDPS est cristallisé dans notre Bible « la lettre de 52 pages » des treize parlementaires qui est toujours d’actualité plus de 40 ans plus tard. Déjà en 1977, le Chef de l’Etat de l’époque déclarait avec raison :
« L‘ETAT ACTUEL DE NOTRE SOCIETE EST DES PLUS PREOCCUPANTE ET CHAQUE SECTEUR DE LA VIE NATIONALE SE TROUVE DANS UN ETAT CRITIQUE QU’IL SERAIT VAIN D‘IGNORER. »
C’était vrai à l’époque et ça l’est encore aujourd’hui ! Aussi, je vous recommande à tous cette lettre, spécialement aux jeunes générations, pour nous servir de gouvernail dans notre engagement, notre conduite et nos actes pour bâtir un pays plus beau qu’avant.
L’histoire retiendra que les pères-fondateurs de l’UDPS non seulement combattaient le régime dictatorial dans ce qu’il avait de plus pernicieux, à savoir ; l’Etatisation du parti unique, et revendiquaient des réformes politiques, mais aussi ils promettaient des changements socio-économiques.
Aussi, le combat pour lequel les pères-fondateurs sont morts, et qui a commencé il y a plus de 40 ans, ne devrait être abandonné par nous pour qui ils ont sacrifié leurs libertés, leurs biens, leurs carrières, leurs familles, leurs vies, bref tout ce qu’être humain a besoin pour vivre.
Combattantes et combattants,
Chers Compatriotes,
La question aujourd’hui est pour nous de savoir ce qui nous reste de cet idéal des pères-fondateurs après trois ans et demi d’exercice du pouvoir par un des nôtres. Qu’avons-nous fait ou que n’avons-nous pas faits ? Quels sont nos succès, quels sont nos échecs ?
Poser ces questions, c’est en même temps soulever une autre, plus intrinsèque ; celle de savoir pourquoi le peuple congolais continue à souffrir alors que la magistrature suprême de la République est entre les mains d’un membre de l’UDPS ? Pourquoi l’espoir suscité par l’UDPS s’éloigne du fait de la gouvernance d’un héritier du combat de l’UDPS ? Comment gère-t-il la chose publique ? Pourquoi assiste-t-on à des dépassements budgétaires à la Présidence de la République et à une gabegie financière au sein du gouvernement ? Pourquoi après avoir accédé au pouvoir grâce à l’alternance pacifique, le Chef de l’Etat est incapable de mettre en œuvre les politiques publiques qui ont fait de l’UDPS un parti du peuple ? Serait-il arrivé au pouvoir par son génie politique propre ainsi que certaines combinaisons sur lesquelles notre parti n’avait et n’a aucune prise et pour lesquelles chacun de nous, glorieux combattantes et combattants de la démocratie, continue de payer le prix le plus fort ?
Combattantes et combattants,
Chers Compatriotes,
Toutes ces questions résument la contradiction fondamentale dans laquelle notre parti est embourbé ; ce qui cause des fractures et des divisions sur les comportements et attitudes à adopter par les uns et par les autres. L’UDPS est au pouvoir pour ajuster la gestion du pays sur les aspirations que notre Parti a suscitées au sein de la population pendant nos 40 ans de lutte. Nous sommes tenus à une obligation non seulement d’exemplarité, mais aussi de résultat.
Mais, trois ans et demi plus tard, alors que l’un des nôtres est le magistrat suprême, le bilan est illusoire, voire inexistant, dans les secteurs emblématiques de la vie nationale pour lequel l’UDPS devait faire preuve de modèle. Le camarade Tshisekedi et ses coopérants de collaborateurs ruinent chaque jour la crédibilité de notre Parti. Depuis son avènement au pouvoir, la crise d’éthique, la mégestion ou mauvaise gouvernance, la corruption, le trafic d’influences (la liste n’est pas exhaustive) persistent et sont autant d’antivaleurs que les gouvernants arborent et voudraient que l’UDPS endosse. Quant au niveau interne, l’exécutif du Parti a renié les valeurs pour lesquelles notre Parti a combattues durant sa longue marche pour la démocratie et l’Etat de droit. Point n’est besoin de revenir sur ces antivaleurs, qu’ils nous suffisent de dire que les actes et conduites du camarade Félix Tshisekedi Tshilombo et ses collaborateurs constituent du sabotage pure et simple de l’UDPS.
Face à ces reniements, face à l’impuissance et à l’incapacité du leadership de l’UDPS à susciter des synergies susceptibles de faire renaître le parti dans son ambition historique et sa capacité à fidéliser son électorat, force est de constater qu’en attendant celui de 2023, le cycle électoral de 2018 semble avoir vidé notre Parti de toute sa substance !
Avec comme résultat qu’un an avant le prochain cycle électoral, notre parti semble avoir perdu la confiance dont elle bénéficiait auprès de la majorité de notre peuple.
Combattantes et combattants,
Chers Compatriotes,
Certes, camarade Félix Tshisekedi Tshilombo avait droit au bénéfice du doute. Car, au lendemain des élections, l’UDPS n’a pas pu avoir la majorité parlementaire et il était tout-à-fait normal, dans l’intérêt de la Nation, d’avoir un gouvernement de coalition avec le Front Commun pour le Congo (FCC).
Après une année d’incapacité de gouverner au sein de ladite coalition gouvernementale, un constat d’échec a été tiré et camarade Félix Tshisekedi Tshilombo a décidé de se créer une nouvelle coalition, fondée sur la nouvelle majorité parlementaire dénommée l’Union Sacrée de la Nation (USN). Dans cette dernière, l’UDPS a honteusement accepté de se diluer dans une majorité dont elle n’a jamais eu les commandes.
Une situation politique paradoxale dans laquelle le Président de la République est obligée de composer à chaque échéance, d’acheter à coup de jeeps « Palissade » et de millions de dollars l’adhésion de celles et ceux qui sont censés l’accompagner, ou avaler les quolibets et le chantage de ses partenaires et, en même temps, adversaires politiques telles que l’Ensemble de Moise Katumbi et le FCC de Joseph Kabila.
Combattantes et combattants,
Chers compatriotes,
L’alerte lancée, dès la première année du pouvoir de l’UDPS, contre les antivaleurs, n’a pas été comprise par ceux et celles dont l’ivresse du miel du pouvoir rendait insensibles aux revendications de la BASE et du peuple. Il a donc fallu trois ans pour que les combattantes et combattants commencent à se rendre compte que ces antivaleurs portent les germes de l’autodestruction de l’UDPS. Nous devons arrêter cette déchéance de notre parti ! Sans quoi, le projet de société de l’UDPS tombera dans les oubliettes.
Voilà comment notre prétendue victoire s’est transformée en un complot contre l’UDPS et la nation congolaise ! Voilà comment notre gouvernance n’est plus qu’une série de reniements, de compromissions, de trahisons, ponctuées par des scandales de gestion comme chefs d’œuvre de celles et ceux que le Président de la République a jugé bon, sur la base de son casting, de mettre à la place des cadres, Combattantes et combattants de l’UDPS, par choix délibéré ou par contrainte politique dans un deal dont personne ne connaît ni les tenants ni les aboutissants.
Du fait du casting mis en place tant dans son Cabinet que dans le Gouvernement de l’Union Sacrée pour la Nation, l’UDPS se retrouve aujourd’hui dans une contradiction fondamentale. En effet, d’une part, on crédite notre parti d’être au pouvoir et on lui reproche la succession des scandales financiers qui sont devenus un mode de gouvernement du pouvoir UDPS alors que, d’autre part, la grande majorité de véritables cadres de notre parti n’ont jamais exercé le pouvoir dont on les accuse.
Et pourtant, il est de notoriété publique que le casting du Chef de l’Etat a consisté à positionner ses amis, ses compagnons recrutés dans des conditions les plus obscures, mais avec qui nous n’avons jamais partagé les opinions, la vision, les sacrifices et les tourments de notre longue marche pour la démocratie et l’Etat de droit.
Combattantes et combattants,
Chers Compatriotes,
Voilà comment l’Union Sacrée est devenue l’affaire de quelques copains et coquins. Voilà comment une interminable crise de leadership s’est installée à la tête de notre parti, déchirant à belles dents la culture des textes qui a toujours été notre crédo, installant des leaders de commodité afin de contrôler le parti et de le maintenir dans un coma pour les besoins d’une cause qui n’a plus jamais été la nôtre. Une cause qui s’est transformée en course aux scandales pour l’enrichissement sans cause des fripouilles qui sont les collaborateurs directs du Président de la République.
Combattantes et combattants,
Chers Compatriotes,
Ainsi humiliés par des scandales répétitifs, nos cadres exclus de la gestion de la chose publique au profit de copains et coquins ayant squatté l’entourage du Chef de l’Etat avec son propre agrément, que devons-nous désormais faire ?
Face à cette conjoncture politique, provoquée et entretenue par le leadership de l’UDPS, que chacun d’entre nous vit dans sa chair et son sang, quelle attitude adopter au moment où des appels de pied nous sont faits face aux échéances électorales de 2023 et à l’implacabilité de l’échec d’une gouvernance qui nous accable alors que nous n’en sommes ni les auteurs ni les bénéficiaires ?
L’exercice auquel je vous convie aujourd’hui consiste à faire une introspection et à nous interroger sur notre responsabilité tant individuelle que collective, à effectuer notre choix au nom de la liberté, de la démocratie et de l’Etat de droit pour lesquels nous nous sommes battus et avons sacrifié nos vies entières.
Notre leader d’heureuse mémoire, Tshisekedi wa Mulumba, savait que nous sommes capables de faire le choix entre la constance de nos opinions et la complaisance des antivaleurs.
Combattantes et Combattants,
Chers Compatriotes,
Il n’y a pas de dilemme de type cornélien ici. Nous avons adhéré librement à l’UDPS conformément à l’article 4 de nos statuts tels que modifiés, complétés et corrigés le 25 janvier 2013. Nous avons cru à un idéal et à la réalisation des certains objectifs. Dès lors, nous sommes tous les dépositaires (gardiens) d’une identité collective qui nous préserve des antivaleurs du microcosme politique congolais. Alors, ne tombons pas dans l’ivresse du pouvoir qui a dérouté le leadership de commodité qui a pour mission de corrompre vos consciences. Oui, nombreux vont tomber dans la complaisance des antivaleurs et vont construire l’avenir de l’UDPS et du Congo sur les antivaleurs.
Mais, notre peuple est contre les antivaleurs et, en démocratie, c’est lui le Souverain Primaire. C’est la pyramide renversée dans l’UDPS !
Faites vous-même le constat si ce leadership de convenance nous conduira vers la terre promise. Nous savons que quand des membres de l’UDPS sont fatigués de la lutte, parce qu’enivrés par le pouvoir, ils doivent être mis au garage et remplacés par des vertébrés, véritables héritiers idéologiques du Sphinx de Limete et qui ne sont reconnaissables que par leurs actes.
Notre engagement est envers le peuple congolais. Il se cristallise autour d’une vision commune « le peuple d’abord », laquelle nous impose la mise en œuvre de moyens efficaces propres à l’atteindre.
Les Pharisiens, les cadres de commodité comme certains héritiers biologiques n’ont pas de place au royaume des pères-fondateurs de l’UDPS. Poser la question à maman Marthe Kasalu Tshisekedi, elle vous le confirmera. Vous le savez et elle le sait du fond de son cœur.
Combattantes et Combattants,
Chers Compatriotes,
Notre observation de l’action politique du camarade Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ces trois dernières années est une mission avortée sans espoir d’une nouvelle tentative. Aussi, il n’y a pas lieu ici de renouveler notre soutien à un leadership qui :
1. renie les fondamentaux de la Social-démocratie c’est-à-dire, la liberté, l’égalité et la solidarité ;
2. un leadership qui est incapable d’atteindre les objectifs fixés à l’article 10 des statuts de notre Parti;
3. un leadership qui nous fait endosser ses incompétences, ses détournements des deniers publics, ses insuffisances, ses échecs, bref ses antivaleurs ;
4. un leadership qui privilégie le favoritisme, le clientélisme, le népotisme, la corruption et fait preuve d’indifférence vis-à-vis des Combattantes, Combattants et Cadres de l’UDPS ;
Montrons leur que nous sommes les vrais héritiers des pères fondateurs en les empêchant de continuer à nous endormir avec le discours de l’UDPS alors qu’ils posent des actes visant sa liquidation.
Levons-nous et barrons la route à tout celui qui trahit le combat des pères-fondateurs. Qu’il sache qu’il n’aura jamais la paix ! Nous le combattrons de générations en générations. Car, notre lutte a été sacrée par le sang de tous les martyrs de la démocratie.
Combattantes et Combattants,
Chers Compatriotes,
Pour conclure, concernant notre Parti, l’UDPS n’est pas un parti sacoche, ni parti familial, tribal, amical ou de commodité. Nous sommes un parti historique, national et avant-gardiste. En effet, nous sommes la fille-aînée de l’opposition en RDC. Si l’UDPS ne fait rien, rien ne se fera dans notre pays. Montrons au peuple que l’UDPS est capable de désavouer celui qui a renié les fondamentaux de notre lutte et choisissons-nous un nouveau leadership.
Pour ce qui concerne la gouvernance de la République, l’UDPS ne doit pas cautionner la mauvaise gouvernance, la corruption et autres antivaleurs qui classés « zéro tolérance » dans les objectifs de l’UDPS.
De même, la promotion de l’Etat de droit n’est pas un slogan pour endormir le peuple. Elle requièrt :
1. l’indépendance de la justice doit être garantie ;
2. des juges et magistrats intègres et impartiaux ;
3. une justice juste et distributive.
Ici, sur terre, personne n’a été créée pour servir de souffre-douleurs aux gouvernants, démocrates de façade, qui promettent sans réaliser et qui considèrent la République comme une mangeoire pour leur enrichissement sans cause. Ils pillent le peuple et prennent plaisir à contempler leur agonie sourire aux lèvres.
Voilà pourquoi, nous avons le devoir historique de nous prendre en charge afin non seulement d’arracher des mains de ces politiciens le contrôle de notre destin, mais surtout de restaurer la vision ORIGINELLE de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). D’ors et déjà, nous mettons en place, notre tendance
« RENOUVEAU IDEOLOGIQUE » pour nous distinguer des prédateurs en peau d’agneau priant agenouillés devant l’autel et surtout pour renouer avec notre leadership national d’autrefois.
C’est à cette seule condition que l’UDPS sera capable de peser sur les événements et les choix à venir comme acteurs et protagonistes de notre propre avenir.
Je demande donc à tous ceux qui sont intéressés me suivre de communiquer leurs coordonnées (noms au complet, adresse domicile, Email, téléphone whatsapp,pour un cheminement sans promesses ni mensonges, dans le respect du «peuple d’abord !».
D’ores et déjà, le nom du groupe « Sauvons Fatshi, sauvons UDPS » change et devient « Sauvons UDPS, Sauvons le Congo ».
Que vive l’UDPS !
Que vive la République Démocratique du Congo !
M. Clément MBUYAMBA BANDOA
Un commentaire
Mon cher combattant et peut être membre de l’udps/tshisekedi par le nom .
Nous devons agir avec beaucoup de sagesse et l’intelligence réelle et non artificielle sur d’autres questions dans le parti .
Nous t’avons toujours suivi sur audio , une chose est , il ne faut pas oublier que le parti udps tshisekedi n’a pas du tout l’entièreté du pouvoir et nous devons félicité le membre de notre parti dont je cite : notre cher président,chef du parti qui n’avait pas voulu faire la politique de la chaise vide et que nous avons eu l’occasion aujourd’hui de faire partie au pouvoir bien que c’est un pouvoir de pagne tissé avec beaucoup des morceaux mais que lui dirigé avec beaucoup de sagesse et l’intelligence pour l’intérêt supérieur de notre nation congolaise .
Si nous les membres du parti udps tshisekedi, nous voulons avoir les postes politique dans cette période , il faut un peu du recule et aussi , faire la politique n’est pas toujours envié le poste pour avoir l’argent ou les honneurs. La politique est l’art de gouverner comme un berger à la bergerie en veillant sur la santé des moutons qui y vivent ; et non d’être celui qui veut se faire voir aussi longtemps que les moutons sont galeux et ils manquent quoi boire et manger.
L’orgueil précéde toujours la chute et la simplicité respectueuse est la base de la civilisation . Nous sommes pendant la période de se taire en cherchant la sagesse et l’intelligence pour ramener le parti udps tshisekedi sur les réel du terrain selon son statut et règlement d’ordre intérieur pour l’intérêt de tous ceux qui ont l’amour du parti et de notre nation congolaise comme l’udps est le fils aîné pour la recherche de la démocratie enfin que les peuples trouve sa place et sa dignité humaine en bénéficiant la paix et la jouissance de son patrimoine . Voilà que l’héritage de patriarche Étienne tshisekedi wa Mulumba d’heureuse mémoire » le peuple d’abord » souffre encore .
Merci beaucoup, essaie de revoir ta position enfin que la paix dans le parti udps tshisekedi règne et que nous soyons comme un excellent exemple . Ou si tu veux partir ailleurs , vas en paix ou si tu as des suggestions et recommandations, il faut écrire au parti.